MBAYA Yvanovitch

Diplômé en 2013 de l’École Nationale des Beaux-arts de Brazzaville (Congo). Yvanovitch Mbaya poursuit ensuite sa formation à l’Université de Lomé (Togo), spécialité : psychologie de l’art.

Parallèlement à ses études institutionnelles, et dès 2011, il devient l’assistant et apprenti de l’artiste Bill Kouélany (Première femme Africaine programmée à la documenta 12, Kassel 2007). Il lui transmet sa science aussi bien théorique que pratique des Arts ainsi que de nombreux conseils, qui précisent et enrichissent son engagement plastique et sa discipline de travail.

En 2012, son travail singulier est remarqué et apprécié par de nombreux professionnels. Notamment lors des deux premières éditions des RIAC (les Rencontres Internationales de l’Art contemporain) organisées par les Ateliers SAHM à Brazzaville, il y obtient le prix Goddy Leye pour la peinture qui lui octroie notamment une résidence à la Art Bakery de Douala (Cameroun).

En 2013, il participe à l’Atelier Contraste à Brazzaville, puis au Festival Étonnants Voyageurs aux côtés de Frantz Zéphirin, l’un des principaux peintres de l’École Haïtienne.

Mbaya voyage ensuite à travers le Continent pour poursuivre ses recherches, autour des religions traditionnelles sacralisant les éléments aquatiques.

Il présente certaines des œuvres issues de cette thématique liée à la figure de Mami Wata et du Vaudou plus généralement au Goethe Institut de Lomé en 2014.

En 2015, il décide de s’installer et d’installer son atelier à Casablanca (Maroc). Depuis, il a participé à d’importantes expositions collectives qui ont marqué les esprits :

United Artists (Off 1-54, Marrakech 2020), curatée par Syham Weigant et qui réunissait de manière exhaustive tous les artistes Marocains.

The day after (Abou Dhabi Art Fair, Émirats 2020) Curatée par la Star Simon Njami dans un format inédit malgré la crise pandémique.

Le Pinceau de l’intégration (Fondation Sonatel, Off Biennale Dak’art 2022) qui accompagne le grand retour de la Biennale panafricaine.